Le
grand
retour du duo britannique, nouvel
album en poche, Noir,
4 ans après leur
passage à
Gadagne
!
Bientôt
10 ans que ces
éphèbes
écument les rues, les concerts, les
festivals, la
planète comme
terrain de jeu.
Une voix blues éraillée et possédée, une guitare saturée d'un côté (Andy), un beatbox grandiloquent et une large palette de sonorités de l'autre (Dave), le duo balaie un vaste champs d'expérimentations blues, soul, et rock et n'a pas fini de nous épater. Autre duo, lyonnais cette fois : Maël Salètes guitariste et Mélanie Virot, harpiste classique. Du folk-rock, des airs qui viennent de loin, une harpe cristalline qui peut se faire abrasive ou dissonante, une guitare tournée vers la transe africaine, des voix entretenant la tension, nul doute que vous resterez cois face à cette chimère. Enfin, ancien chercheur de trésors, éclairagiste de théâtre, photographe de mode, c'est la beauté qu'il voit en tout humain, objet, paysage que Benjamin retanscrit avec justesse sur des polaroids grand format à déguster lors de ce vernissage.
(En savoir plus)
(Cacher le texte)
Une voix blues éraillée et possédée, une guitare saturée d'un côté (Andy), un beatbox grandiloquent et une large palette de sonorités de l'autre (Dave), le duo balaie un vaste champs d'expérimentations blues, soul, et rock et n'a pas fini de nous épater. Autre duo, lyonnais cette fois : Maël Salètes guitariste et Mélanie Virot, harpiste classique. Du folk-rock, des airs qui viennent de loin, une harpe cristalline qui peut se faire abrasive ou dissonante, une guitare tournée vers la transe africaine, des voix entretenant la tension, nul doute que vous resterez cois face à cette chimère. Enfin, ancien chercheur de trésors, éclairagiste de théâtre, photographe de mode, c'est la beauté qu'il voit en tout humain, objet, paysage que Benjamin retanscrit avec justesse sur des polaroids grand format à déguster lors de ce vernissage.
Le Lieu
Sur la toile