Londres 1884. L’engouement de la population pour les Monstres, les « freaks » est à son apogée. Le plus célèbre d’entre eux est sans doute Joseph Merrick, alias «Elephant Man », exhibé comme une bête pour ses difformités incroyables.
Sa rencontre avec le Docteur Treves, éminent professeur à l’université de médecine, va lui redonner vie et changer le regard de la haute société victorienne jusqu’à la reine elle-même. Hommage au chef d’oeuvre de David Lynch, ce spectacle résolument pudique, nous interroge sur notre humanité.
Adapter aujourd'hui cette histoire au théâtre, c'est vouloir affirmer une fois de plus le droit à la différence et à l'indifférence. C'est, d'un point de vue didactique, rappeler qu'un handicap recèle souvent bien des richesses et que la monstruosité est toute relative. Mais c'est avant tout raconter une histoire magnifique, aussi émouvante qu'haletante, une histoire qui semble condenser toutes les émotions humaines et où les « coups de théâtre » sont nombreux.
(En savoir plus)
(Cacher le texte)
Sa rencontre avec le Docteur Treves, éminent professeur à l’université de médecine, va lui redonner vie et changer le regard de la haute société victorienne jusqu’à la reine elle-même. Hommage au chef d’oeuvre de David Lynch, ce spectacle résolument pudique, nous interroge sur notre humanité.
Adapter aujourd'hui cette histoire au théâtre, c'est vouloir affirmer une fois de plus le droit à la différence et à l'indifférence. C'est, d'un point de vue didactique, rappeler qu'un handicap recèle souvent bien des richesses et que la monstruosité est toute relative. Mais c'est avant tout raconter une histoire magnifique, aussi émouvante qu'haletante, une histoire qui semble condenser toutes les émotions humaines et où les « coups de théâtre » sont nombreux.